Les berges du bras d’Andrésy jusqu’aux écluses du canal de la dérivation à Carrières constituent un lieu de repos et de promenade pour de nombreuses familles, qui viennent les week-end, en toutes saisons simplement pour marcher au bord de l’eau dans une ambiance de calme et de sérénité. 

En outre, les berges sont prisées par de nombreux joggers et cyclistes qui viennent y rechercher un profit salutaire pour leur condition physique.

Les pêcheurs sont également souvent présents du vendredi soir au dimanche soir pour s’installer le long du canal de la dérivation. Parfois, à la belle saison, on peut même les voir bivouaquer dans ce cadre exceptionnel, calme et reposant.

Le canal est par ailleurs jusqu’aux anciennes écluses, le lieu d’entraînement du club d’aviron d’Andrésy.

Que deviendrait cet univers équilibré, sain et riche de sa diversité si le pont devait se réaliser des îles de Carrières et d’Andrésy ? Comment mesurer le gâchis que constitue la destruction d’un tel espace ?

Bétonner les berges de la Seine, une solution en cohérence avec le grenelle de l’environnement ?